Beaux Arts de Bourges

École Nationale des Beaux Arts de Bourges :

 

J’ai étudié à l’école nationale des Beaux-Arts de Bourges l’année scolaire 1975-76.
Ce fût la dernière année avant sa démolition en Septembre 1976  et son transfert qui a suivi.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pourtant, c’était une école qui « avait de la gueule », voir blog
http://bourges-bazar.overblog.com/quand-l-%C3%A9cole-des-beaux-arts-avait-de-la-gueule

Les enseignements  étaient dispensés en partie dans l'ancienne école et en partie de l'autre côté
de la place Cujas dans une ancienne école de Jésuites.
Tout ceci est parfaitement décrit dans le blog :
http://www.encyclopedie-bourges.com/ecolebeauxarts.htm

Le souvenir que j’en ai gardé est celui d’un grand bâtiment ancien, presque austère,
et d'un excellent petit magasin d'arts situé juste à côté rue Branly ...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Entrée rue Branly

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cour intérieure

Les salles d’activité étaient situées sous les toits, dévoilant ainsi toute leur vieille charpente.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur cette photo, moi-même, en plein centre

 

L’ancienne école servait (encore) entre autres aux ateliers de poterie et sculpture.

Cette année fut très formatrice et me permit de découvrir des activités que je n’imaginais même pas
comme la lithographie, la sérigraphie, la peinture sur soie et dans un autre registre, la morpho-structure.

L'activité qui me passionnait le plus était le dessin.
Découverte de nouvelle techniques, de nouvelles approches.... une autre vue sur le dessin.
C’était la première fois qu’un modèle posait devant moi et ou le professeur me demandait non pas de le reproduire,
mais d’en saisir l’expression et de ne coucher qu'elle sur papier.

J'y ai également découvert des techniques de photographie, tant prise de vue que développement
ainsi qu'une autre idée de la poterie.
Cette année très enrichissante m'a permis de me présenter au concours d'entrée à l' ENSET :
(École Normale Supérieure d'Enseignement Technique).
Ayant échoué pour quelques places après avoir été déclaré admissible sur liste d'attente,
je décidais de poursuivre en m'inscrivant à la faculté de Vincennes, seule université française à l'époque
permettant de se présenter de nouveau l'année suivante à l' ENSET.